« Rue de l’Abbé de Sauvages, précisée « ancienne ruelle de la Calade ». Théâtre nocturne de ce que les gens alcoolisés font lorsqu’ils ne se sentent par observés. Et si on échangeait nos soutien-gorges ? Je vivais là, dans cette rue où l’on pisse, se bat et s’embrasse. La nuit ma fenêtre devenait une télévision où à n’importe quelle heure quelque chose d’incroyable se produisait. Même le silence pensant était beau. Je vivais là, et vraiment, c’était bien. »
Anaïs.